Si vous avez pour habitude d’acheter vos poulets dans les grands magasins, vous devez savoir que ces derniers sont constitués à 30% d’eau salée, de produits chimiques pour améliorer le goût et la texture et de déchets d’autres animaux.
Au lieu de vendre du poulet sain et nutritif, ces industries le remplissent de toutes sortes de liquides et de produits chimiques, dans le but de faire paraitre la viande de mauvaise qualité en une viande de première classe.
Les poulets ne sont pas nourris pour être en bonne santé et pour que leur viande soit juteuse et tendre, mais dans le but d’avoir des profits plus élevés.
C’est pour cette raison que ces industries font tout ce qu’ils peuvent pour que le poulet atteigne le poids requis plus rapidement. Cette technique met en danger la santé des consommateurs, car un tel poulet contient jusqu'à 500% plus de sodium.
Le pire dans tout cela est que ces fabricants étiquettent leurs produits comme « 100% naturels », étant donné que cette terminologie n'est pas légalement réglementée. Tant que les substances qui sont insérées dans le poulet sont considérées comme naturelles, le produit pourra garder cette étiquette.
La pratique consistant à injecter de l'eau et des protéines dans le poulet n'est pas illégale si ce dernier est correctement étiqueté. Il n'est pas non plus illégal d'y injecter des protéines tant qu'ils sont ensuite étiquetés comme des produits contenant des «protéines hydrolysées». Ces protéines sont ajoutées au poulet afin de retenir plus d'eau. Mais les consommateurs doivent-ils avoir un doctorat en biochimie pour pouvoir identifier ce qu’ils achètent ?