En comparaison avec les deux premiers mois de l’année 2014, qui détient déjà le record annuel en évolution de la température globale, Janvier et Février 2015 ont marqué aussi une performance. Selon les analyses de l'équipe de la Nasa au GISS (Godard Institute for space studies) et de l'Université Columbia de New-York, ces deux mois se situent au deuxième rang des plus chauds deux premiers mois de l’année.
Par contre l’Est de l’Amérique du nord, surtout au Québec et la partie Est des Etas Unis jusqu’à la Virgine, ont marqué des températures plus froides que l’habituel.
En effet, estime Adam Voiland, du NASA Earth Observatory, affirme que les tendances observées par tous les groupes sont à peu près les mêmes. Ils montrent tous que la plus récente décennie pour être plus chaud que les décennies précédentes.
Ce climat chaud est du à l’existence d’une éruption volcanique majeure, éjectant ainsi de la poussière dans la stratosphère. Aussi l’océan pacifique tropical est celui qui explique les chances ou bien les risques d’atteindre un nouveau record annuel puisque c’est lui qui conserve le potentiel.