Depuis 2010, l'Agence nationale de santé et du médicament (ANSM) tire ainsi la sonnette d’alarme depuis 2010 sur les dangers de la prégabaline substance active du Lyrica.
Cet antiépileptique a beaucoup d 'effet indésirables particulièrement si il est utilisé à des fins récréatives. Des détournements d’ordonnances avec falsifications ont également été signalés par l’Agence du médicament.
L’ANSM met en garde les professionnels de santé pour augmenter la vigilance vis à vis des patients toxicomane, lors de la prescription. Les signes de mauvaises utilisations, de la prégabaline, tels que le développement d’une tolérance, l’augmentation des doses et un comportement de recherche du médicament doivent être surveillés chez ces patients.
L'ANSM préconise le renforcement du suivi médical des patients lors de l’arrêt du traitement. L' ANSM doit être progressif arrêt peut en effet entrainer des symptômes de sevrage tels que l’insomnie, un état dépressif. Le Lyrica est utilisé pour prendre en charge de certaines formes d 'épilepsie, les douleurs neuropathiques et les troubles anxieux généralisés.