Les 10e journées d’oncologie de l’Océan Indien ont eu lieu vendredi et samedi à la Saline. Focus sur les effets bénéfiques du sport dans un congrès ouvert au grand public. L’espace Tamarun de la Saline a accueilli les 10e journées d’oncologie de l’Océan Indien vendredi 9 et samedi 10 novembre.
Pour la première fois, le congrès organisé par le Réseau Régional de Cancérologie Oncorun était ouvert au grand public. Bruno Cutuli, spécialiste métropolitain du cancer du sein est intervenu et a insisté sur un message : Faire du sport réduit le risque de développer un cancer.
L’Institut National du Cancer rappelle que l’évaluation des relations entre activité physique et plusieurs types de cancers a fait l’objet d’expertises nationales et internationales. Les effets bénéfiques de l’activité physique sur le risque de cancer est lié à l’augmentation d’hormones, de facteurs de croissance et la diminution d’insuline.
Plusieurs études mises en avant par l’Institut National du Cancer montrent que l’activité physique et l’inactivité influencent le risque de mortalité par cancer de façon opposée. Plus frappant, il a été estimé que 18% des cas de cancers coliques chez l’homme sont attribuables à une activité physique insuffisante. Les chiffres sont aussi parlant chez la femme où la fraction attribuable à une activité insuffisante pour les cancers du côlon, du sein et de l’endomètre est estimée respectivement à 20, 21 et 26%.
Aujourd’hui en France, 63% des adultes de 18 à 74 ans pratiquent un niveau d’activité physique équivalent à au moins 30 minutes d’activité physique modérée par jour, environ 5 fois par semaine, selon l’Institut National du Cancer.
Plusieurs études mises en avant par l’Institut National du Cancer montrent que l’activité physique et l’inactivité influencent le risque de mortalité par cancer de façon opposée. Plus frappant, il a été estimé que 18% des cas de cancers coliques chez l’homme sont attribuables à une activité physique insuffisante. Les chiffres sont aussi parlant chez la femme où la fraction attribuable à une activité insuffisante pour les cancers du côlon, du sein et de l’endomètre est estimée respectivement à 20, 21 et 26%.
Aujourd’hui en France, 63% des adultes de 18 à 74 ans pratiquent un niveau d’activité physique équivalent à au moins 30 minutes d’activité physique modérée par jour, environ 5 fois par semaine, selon l’Institut National du Cancer.