D’après les chercheurs : « la reconnaissance constitue d’abord une rétroaction constructive et authentique. Elle est fondée sur l’appréciation de la personne comme un être qui mérite respect et qui possède des besoins ainsi qu’une expertise unique. ». Ces derniers ont élaborés 4 formes de reconnaissance au travail comme suit :
1 – La reconnaissance existentielle :
La reconnaissance existentielle concerne essentiellement l’employé en tant qu’être humain distinct et possédant une identité ainsi qu’une expertise unique.
Cette dernière se manifeste par des gestes posés au quotidien lors de contacts et d’échanges, comme par exemple prendre des nouvelles de la personne, consulter les employés, etc…
2 – La reconnaissance de la pratique de travail :
La reconnaissance de la pratique concerne la façon dont l’employé effectue sa tâche. La reconnaissance de la pratique de travail porte sur la créativité, l’innovation et l’amélioration continue des méthodes de travail. En d’autres termes, cette forme de reconnaissance vise à souligner la manière dont l’employé exécute ses tâches professionnelles.
3 – La reconnaissance de l’investissement dans le travail :
La reconnaissance de l’investissement dans le travail prend en compte la qualité et l’importance des efforts fournis par l’employé. Cette dernière met en évidence la contribution des employés, les risques qu’ils prennent et l’énergie qu’ils déploient, et ce, indépendamment des résultats obtenus.
4 – La reconnaissance des résultats du travail :
La reconnaissance des résultats concerne les résultats du travail de l’employé ou de l’équipe. Cette dernière est en réalité un jugement ainsi qu’un témoignage de gratitude basé sur l’efficacité, l’utilité et la qualité du travail réalisé par un travailleur ou un groupe d’employés, comme par exemple en tenant une cérémonie pour souligner une réussite particulière, rencontrer un employé pour parler de ses réalisations, etc…
Il faut tout de même préciser que cette forme de reconnaissance est conditionnelle aux résultats obtenus et que cette dernière ne se manifeste qu’après que la tâche ait été accomplie.